C'est un immense bâtiment rectangulaire à plusieurs étages qui contraste avec l'architecture alentour. Il est entouré d'un muret grisâtre, à l'intérieur duquel des biomeks curieux qui n'ont pas d'autorisation d'entrer se pressent contre les grandes fenêtres pour observer l'étrange façon de se comporter des humains.
Lorsqu'on passe la porte métallique enfoncée dans la façade, un trouve tout d'abord deux gardien vêtus de gris, avec une chemise blanche et une cravate noire a l'air un peu renfrognés, tassés, chaqu'un derrières un bureau qui encadre trois détecteurs à métaux. Lorsqu'on lève le tête, on se rend compte du plafond d'à peine 2m50 de haut (beaucoup de biomeks repartent d'ailleurs avec de nombreuses bosses sur le dessus de la tête et une douleur lancinante dans le dos qu'il ne peuvent plus redresser) on devine aussi, plus loin, trois couloirs à angle droits au bord desquels des flèches indiquent gestion des relations et commerces, logements de fonctions ou encore aéroport.
En réalité, la plupart des "logements de fonctions", abritent surtout un petit bataillon militaire ayant pour mission de "défendre l'ambassade et les ressources humaines." Parfois des notable mutés à cause d'une mauvaise conduite et plus rarement des représentant de commerce qui n'effectuent que de très courts séjours.
En se qui concerne la partie gestion du bâtiment, on y trouve le centre de communication, où l'on est sensé pouvoir joindre les dirigeants de la Seconde, le centre de contrôle et de réglementation des ressources commerciales, et le commandement militaire.
Enfin le troisième couloir débouche dur un ascenseur, lequel accède à l'étage le plus haut, entièrement réservé aux voyageurs et au toits, ou décollent et atterrissent en permanence des vaisseau des plus variés.
On note aussi, lorsqu'on connait bien l'endroit, qu'en prenant les couloir de gestion ou celui des logements, on peut accéder au grand jardin intérieur, une promenade où l'on trouve les plus belles espèces de la seconde, on y trouve souvent des humains à qui leur planète manque énormément, même, parfois, au détour d'un arbre, caché derrière un buisson on trouve un homme ou une femme affalé, un un petit sachet vide a la main et un sourire béa aux lèvres.